mercredi 19 octobre 2016

Appel à témoignage, À PARTAGER MASSIVEMENT



Coucou les copains/copines/lesdeuxàlafois/lesaucunsdesdeuxaussi, bref tout le monde ! 

Sur les conseils avisés d'un pote, j'ai crée un blog pour expliquer le projet, cette fois le plus clairement possible. J'y fais donc un appel à témoignages et pour que ce projet marche il m'en faudrait minimum 20, je compte sur vous pour partager ça au plus de monde possible. 



Oui parce qu'il faut pas oublier de s'aimer (bordel), perso depuis que j'ai commencé ce projet ça va de mieux en mieux et j'ai qu'une envie, le partager. Seule ça n'a aucun sens, je vous attends donc pour faire naitre quelque chose de beau et chaleureux.

mercredi 5 octobre 2016

OBJECTIF : LoveYourself - Autoportrait de Castor poilu


Dans cet article je vais vous parler d'un projet qui me tient à cœur. Énormément.

Il y a environ 3 ans de ça, j'avais déjà commencé quelque chose avec Cyprine, sur la lancée d'une acceptation de soi. Je l'ai trouvé assez maladroit par la suite et moi qui voulais inclure le plus de personnes possibles, je me suis rendue compte que j'en excluais certaines. Pas cool. En affirmant des choses comme "ici nous allons parler de la féminité, celle que nous partageons toutes" et en ne restant que sur des critères physiques telles que les règles ou le sexe féminin, ben je passais complètement à côté de toutes les personnes transgenres, par exemple. Et ça c'est vraiment pas top. Du tout.

Donc voilà, je repars sur une nouvelle base : Le body positivisme.
Le fait de dire que l'on peut s'aimer tel que l'on est et arrêter de se culpabiliser sur des normes qui ne sont même pas la réalité puisque TOUTES, je dis bien TOUTES les images qui nous entourent sont retouchées (ok, on enlève certaines, qui se revendiquent sans retouches, ni maquillage, comme celles du nouvel album d'Alicia Keys mais sont LOIN d'être la norme). Et également puisque l'on nous montre que deux cases bien rigides dont on ne peut pas dépasser : la case "fille" et la case "garçon" avec chacune ses codes bien définis. En réalité il existe autant de case que d'individu, s'accepter, être indulgent avec soi-même, montrer autre chose aux autres que ça soit par son physique ou par sa manière de penser c'est tordre le coup à cette prétendue norme.

Ce qu'il me faut pour ce projet c'est plein de témoignages, de tout type de personnes, hommes, femmes, de toutes les couleurs de peau de l'arc-en-ciel, de tout type de corpulences, de tout âges, de toute religion, ou appartenance ethnique, présentant un handicap physique ou une maladie,  cisgenre, transgenre, agender, travesti et j'en oubli certainement plein plein. Et c'est justement pour ça que je veux faire ce projet. Parce que je ne veux plus faire la même erreur (je sais que j'en ferais quand même d'autres haha !). Parce que je veux inclure. J'ai conscience d'être du "bon côté de la barrière", c'est à dire que je suis une femme blanche cisgenre occidentale. Même si j'ai moins de droit et de "pouvoir" que mon homologue masculin, je ne suis pas naïve sur ma condition qui reste privilégiée sur notre belle planète. Alors n'hésitez à venir me reprendre si je dis de la merde, de manière courtoise tout de même haha. Je serais ravie de discuter de tout ça, avec le plus de personnes possible.

Le projet se traduira par un format éditorial papier mélangeant probablement illustrations, textes, photos, intervention graphique. Pour l'instant il est en état de mijotage dans ma ptite tête. L'idée est quand même de donner aux gens la possibilité de se réapproprier leur image, c'est-à-dire que c'est eux qui choisissent quelle partie de leur corps ils ont envie de partager (plusieurs photos me permettent un choix pour rendre l'ensemble plus cohérent), selon leur angle de vue ou un de leur proche, accompagnée dans le meilleur des cas d'un texte explicatif de leur choix, ou alors une vidéo, ou on peut tout simplement discuter et voir ce qui en ressort. J'aimerais que ce qui soit montré soit le résultat d'une réflexion, d'une lutte interne, d'un choix de réappropriation de son corps (par exemple, le fait d'avoir surmonter un complexe).

Pour lancer le mouvement, j'ai pensé commencer par un autoportrait ... Poilu.



L'arbre-rose


L'année est bonne la terre enfle
Le ciel déborde dans les champs
Sur l'herbe courbe comme un ventre
La rosée brûle de fleurir

Paul Éluard


C'est toujours dur pour moi d'assumer ces deux ptites touffes en public. Ça fait plus de deux ans maintenant. J'ai encore du mal à lever les bras en débardeur sans penser qu'éventuellement quelqu'un va trouver ça dégueu.
Ils ne me dérangent pas, je les aime même, mes ptits poils. Mon copain s'en fout royalement. Et moi je flippe du regard des autres. C'est grave non ? Ça veut dire que si je m'épilais, aujourd'hui ça serait pour "les autres".  J'aimerais juste en avoir rien à foutre. Mais pour ça, c'est du travail. C'est déconstruire ce que je vois tous les jours. Des filles qui s'épilent automatiquement. C'est arrêter de se comparer. Parce que je ne suis pas et ne serai jamais elles. Et je ne le veux en aucun cas d'ailleurs. C'est mon combat de tous les jours, contre moi-même et personne d'autre. Parce qu'au fond, ce ne sont pas "les autres" le problème. Le problème c'est que JE donne trop d'importance à ce regard inquisiteur. Mais plus pour longtemps, foi de castor.

Est ce qu'il y aura des gens pour m'accompagner ?
J'en suis quasiment sure.

Objectif : LoveYourself


PS : Si tu veux me contacter pour de plus amples infos, pour participer au projet etc c'est zici : lea.lecastor(at)gmail.com



dimanche 25 septembre 2016

À moi la pistoche !

Un peu de body positive pour bien commencer la semaine. Nique les complexes. Beaucoup d'amour sur vous et ceux qui vous entourent. J'avais vraiment besoin de partager ce malaise sous-jacent qui m'insupporte bien comme il faut. Maintenant que c'est fait, il n'y a plus qu'à y aller BANZAI !

jeudi 1 septembre 2016

Goodbye South of France

 
Ça y est, je reprends les études (donc je suis un peu excitée) et en plus en Bretagne, région que je rêve de visiter depuis un petit moment déjà (donc je suis méga excitée de ouf). Je vais étudier à Rennes en Licence pro Métiers de l'édition conception graphique et multimédia, j'avoue, j'ai mis un moment avant de pouvoir sortir cet intitulé d'un pet.
Donc si vous avez de bonne adresses, des gens cools à rencontrer, des associations féministes sympas à conseiller je suis toute ouïe.

Je sens déjà qu'il vont me faire iech à dire que j'ai pas l'accent du sud...

vendredi 5 août 2016

Quinn King - the royal bitch



Voilà il fallait à la fois que j'assouvisse mon adoration pour la série Unreal et particulièrement le personnage de Quinn, qui est à la fois la plus grosse connasse de l'univers et un personnage super attachant ET une illustration pour commencer mon shop en ligne sur society6. Je tente, on sait jamais, je sens que ça peut me motiver pour créer des visuels. 

Du coup, mon nouveau shop c'est par ici : $$$ <--- oui j'ai osé ...

samedi 23 juillet 2016

Être à l'aise dans ses baskets


Et hop deux ptites bannières issues du même dessin, mes nouvelles baskets d'amour. J'avoue, j'avais envie de les dessiner et d'en faire une bannière sympa pour Madmoizelle, parce que c'est vrai que c'est un webzine qui m'a fait me sentir moins seule, qui m'a aidé à me rencontrer en temps que jeune femme et qui m'a définitivement aidé à me sentir plus à l'aise dans mes pompes (et avec mes poils haha !)





Puis si Madmoizelle la choisi pas, c'est pas grave, je m'en suis fait une pour ce blog aussi héhé !


vendredi 22 juillet 2016

Ching Shih, la Terreur de la Chine du Sud

Cette madame a vraiment existé et a botté plus d'un cul. Le site Monsieur Poulet proposant un concours sur le thème des pirates, il a fallu que je tombe sur UNE pirate, qui avait quand même plus de 400 navires sous ses ordres. Alors, on est d'accord, ça veut pas dire que c'était une gentille, ça veut plutot dire qu'elle était puissante et ça, c'est un peu BADASS quand même ! 

Je songe à en faire un motif de t-shirt, même si je gagne pas le concours (honnêtement je n'y crois absolument pas). Donc s'il y a des intéressés, vous pouvez me faire signe, plus on est fou, moins c'est cher :D

jeudi 30 juin 2016

Après un petit moment d'absence, je reviens ! I'M BACK



Bon j'avoue, ça fait un moment que j'ai rien posté ici. Je suis partie en vacances, c'est vrai, pendant un bon mois. Je n'ai malheureusement pas de beau croquis à vous montrer, du moins, pas de mon voyage au pays de galles ou de Londres ou encore de Paris et ses manifs bien loin de mon sud natal, ou bien encore de Gruissan plage. À peine rentrée, je repartais pour un entretien à Rennes, pour la licence de mes rêves. J'en ai profité pour visiter Nantes avec une amie et je vous le jure ça vaut le coup de le vivre, ça transpire la culture (et la culture de la fête, je l'avoue). J'apprends en rentrant que je suis prise et là forcément c'est champagne. Puis là, c'est le bordel. Je sais pas pourquoi mais dans ma tête tout deviens lourd, sans intérêt, je sais plus ce que je veux et où je vais. Motivée pour rien je me traine. Je me noie dans des fictions qui m'évitent de me poser des questions et qui me permettent de ne pas me confronter. Les jours se ressemblent et j'ai l'impression qu'un truc visqueux s'agrippe à moi, me fait vriller. Heureusement il y a les gens que j'aime et qui m'aiment qui sont là pour me donner un peu de lumière, suffisamment pour que je reste à la surface. Puis je sais pas, ça repart comme c'est arrivé.

Alors pour fêter ça, j'ai enfin mis mon nouveau site en ligne, un tout beau, tout professionnel. Avec un peu de ma personnalité aussi quand même, faut pas déconner.

https://lealecastor.wordpress.com/

J'ai un peu menti en disant que j'avais rien à montrer, j'ai bien envie de partager des bouts de mon carnet un peu plus perso on va dire. Celui là c'est mon exécutoire, celui qui me permet de me lâcher, de ne plus penser. Parce que même si c'est con, j'ai encore et toujours ce réflexe de remettre en cause ce que je fais, j'assume pas vraiment, je veux plaire. Je le sais pourtant, que c'est quand je suis sincère avec moi même que quelque chose d'intéressant sort. Alors voilà des bouts de ces derniers mois, des bouts de moi, entière.



Ça c'est moi et le truc visqueux, puis ya Kévin, le seul piment que mon copain à réussi à faire pousser. Vous comprenez donc que Tom est heureux, il se sent papa un peu.



Ma vision du Pays de Galles : des château pour niker la gueule aux anglais et des moutons trop mimis. 


Autoportrait pas encore interprété





jeudi 28 avril 2016

Wild jungle



Question du jour, quel cadrage est le plus meilleur ? Mon cœur balance et ne trouve de repos ... C'est pour ça que je pars deux semaines en vacances, voir nos amis outre-Manche. J'espère revenir avec plein de jolis gribouillis à vous montrer.



mardi 26 avril 2016

J'ai voli

 
Coucou les gens !
J'ai récemment participé à un concours Monsieur poulet sur le thème des dinosaures. Qui dit dinosaures, dit Petit pied, traumatisme de mon enfance. Je ne sais pas pourquoi mais ma mère insistait pour qu'on le regarde et moi, je disais oui alors qu'en fait ça me faisait peur... C'est surement parce que je lui brisais les ovaires les 101 dalmatiens, m'enfin Pango et Perdita, c'était ma vie !
Bref, le seul que j'aime vraiment dans ce dessin animé, même après avoir surmonté ma peur du T-rex dents tranchantes est PETRI parce que IL A VOLI.


S'il y a assez de votes, il sera imprimé sur un T-shirt et ça c'est la superclasseàtamaman.

Have a nice day

samedi 23 avril 2016

Quand mon mec est parti - When my boyfriend left me ...


Je vous (me ?) rassure, je le vois dans une semaine. Mon chat aussi est rassuré d'ailleurs.

For english speaker, as you can see : my cat is a victim of the hugging predator that I am. Don't worry I'm going to see my boyfriend soon (what a relief for my cat...^^)

samedi 16 avril 2016

Autoportrait aux joues de castor


Je crois que je fais une rechute

C'est le printemps et c'est le temps des concours. Un premier foiré, ça fait mal un peu quand même. Malgré ça, en même temps que cette mauvaise nouvelle, un super projet m'a été proposé. Du coup le moral est pas si mauvais puis la motiv de dessiner revient, ma palette d'aquarelle me démange je crois. "Il y a cet amour qu'on éparpille, il y a cette musique dans la poitrine"

jeudi 14 avril 2016

Onna-bugeisha / samurai woman

 

L'ARBRE-ROSE

L'année est bonne la terre enfle
Le ciel déborde dans les champs
Sur l'herbe courbe comme un ventre
La rosée brûle de fleurir 

Paul Éluard

jeudi 7 avril 2016

New zealand sketchbook pieces - Parties de mon carnet de voyage de la Nouvelle Zélande


 


 















 
 

Travelling is just amazing - Moment out of the time where everything take another meaning - No more cosy home and people to cheer you up - Stand by yourself - My sketchbook as a witness of the beauty that my eyes wanted to catch to share it

Hope travelling by my side with these little sketches is possible.

C'est marrant comme je me sens surement plus encline à dire mes sentiments en anglais, parce qu'après tout ce n'est pas ma langue maternelle et les mots n'ont donc pas le même impact. Ils sont pourtant bien réels et ressentis. Il y a juste cette espèce de timidité qui n'a plus de raison d'être. Je vais pourtant essayer, en français de décrire ce qu'a pour moi été ce voyage de neuf mois en Nouvelle Zélande.
Après trois ans à ne pas pouvoir respirer à mon rythme, j'ai voulu me donner cette chance. J'ai aussi l'énorme chance d'avoir des parents qui m'ont soutenu financièrement au départ. Grosse chance et en même temps dur pour moi de partir le coeur léger. Je partais en me mettant la pression d'arriver à me débrouiller financièrement car après tout, si je n'avais pas pu respirer à mon rythme tout ce temps, je n'avais pas non plus été confrontée au monde réel, celui du travail et de l'argent. J'étais dans une bulle à la fois confortable et insupportable. Je voulais savoir ce que c'était dehors. Dans ce monde si terrifiant, celui des adultes. Alors j'y suis rentrée doucement, un voyage avec pour but d'apprendre l'anglais, cette langue qui ne m'attirait pas et puis lâcher mon écran. Voir si j'avais toujours envie de dessiner après tout ça. Voir si j'étais toujours la même personne que celle rongée par le stress de devoir correspondre à ce qu'on attendais d'elle. Voir si j'étais capable de me tenir droite toute seule. Je suis partie avec une amie, parce qu'au fond de moi, je ne me le sentais pas de partir seule. Pleine d'idéaux mais pas assez de cran pour les réaliser dès le départ. Je voulais apprendre l'anglais et je suis partie avec une française, déjà, ce n'était pas logique. Mais bon, ça me rassurait d'être avec elle, d'affronter toutes ces nouveautés avec quelqu'un. Par la suite ça ne s'est pas bien passé car nous étions surement trop différentes et je n'ai pas su régler le problème de manière honnête. J'avais peur de la blesser car je bouillonnais et finalement elle ne m'a pas laisser le choix. Je l'ai blessé. Et je n'en suis pas fière. J'ai commencé à prendre de l'indépendance en travaillant. Enfin j'apprenais l'anglais, enfin je commençais à rencontrer des gens avec qui je rentrais en résonance. C'est marrant comme parfois, on n'a pas besoin de parler pour sentir que la personne qu'on a en face nous veut du bien. Je suis partie en stop, toute seule, pour découvrir que je m'étais senti bien plus seule en étant accompagnée de personnes avec qui je devais composer au quotidien et qui ne me correspondaient pas forcément. Enfin j'avais de la place pour respirer de nouveau. Me rendre compte que je m'étais bien cassé la gueule, regarder en arrière et se dire : ça sera tout le temps comme ça, un coup tu te perds, un coup tu te retrouve. Des ailes me poussent dans le dos. Je fais des rencontres fantastiques. Je fais des randonnées et vois des paysages extraordinaires. Un ami l'a très bien décrit : "Quand tu vois ça, tu a envie de te dire que c'est juste pour toi". Oui je l'ai fais juste pour moi. POUR MOI ET PERSONNE D'AUTRE. Je me rend compte que la route c'est bien, mais j'ai aussi besoin d'un sweet home. Je me pose, j'ai besoin de chaleur humaine. Je me laisse l'occasion d'essayer sur mon parcours, relations charnelles d'un soir, après tout pourquoi pas. La dernière m'est fatale, il se trouve que le garçon que j'ai en face de moi fait fondre, comme par magie toute mes défenses pourtant jusque là efficaces. Quelques jours pour me rendre compte que ce sentiment d'abandon et de confiance est en fait de l'amour. Ça faisait combien de temps que cela ne m'étais pas arrivé. Cinq ou six ans. Jusque là, je n'avais donné à personne la clé. Trop peur. Mais lui, il m'a ouvert les bras et j'ai su que je pouvais tout lui confier, le bon, le mauvais.
Alors voilà, la NZ c'est un chouette pays mais pour ce qui est de mon ressenti, ce n'est pas l'essentiel de mon voyage que d'avoir vu des paysages grandioses. C'était un temps pour moi, pour me découvrir en tant que jeune adulte face à un monde pas si clément. C'était me rendre compte que je peux vivre de pas grand chose matériellement parlant mais que ce qui me pousse tous les jours à me lever c'est la chaleur humaine et l'enrichissement personnel que je peux tirer de ma journée. J'ai également pu me rendre compte que mon projet Cyprine faisait décidément trop partie de ma vie et que j'en parlais, même dans mon anglais pire que pourri. J'ai pu constater que malgré ma dégaine cheveux qui repoussent, leggings et poils partout ben je plaisais. Waouh alors c'est pas un problème de dégaine mais bien d'attitude. Parce que là bas, j'en avais pas grand chose à cirer de plaire. J'étais clairement pas là pour ça. C'est pourtant là que j'ai rencontré celui qui m'a suivi jusque dans mes montagnes françaises haha !

Allez cette fois ci on peut dire que je me suis livrée, ça me fait du bien de partager tout cela. Je vous fais la bise bande de moules.


vendredi 1 avril 2016

Qui a le stress du portfolio ici, QUI ?!

 

Petite bédé pour me donner le courage d'affronter l'épreuve du super graphiste qui gère la patate et sait se vendre à mort, donc en fait, on peut dire que j'ai contourner le problème et choisi une solution qui me ressemble plus. J'AI BESOIN DE M'EXPRIMER. Sinon c'était plutôt chouette de faire ça à la main même si ya le stress de "et si je me loupe, pas de cmd+z bordel" 

La bisouille à toi qui a vu la référence à une célèbre estampe japonaise, la bisouille aux autres aussi, tout le monde n'a pas la même lubie...

vendredi 19 février 2016

Travel sketchbook - New Zealand - Taketakerau (The Burial tree)


At the heart of Hukutaia stands Taketakerau, the burial tree. This giant Puriri tree, estimated to be over 2000 years old, was used by the Upokorehe hapu as a place to store the bones of their distinguished dead. The tree was highly tapu (taboo) and any interference with the site was deadly affront of the atua (ancestral gods), bringing death to the offenders.